DES LUTTES OUVRIERES

Publié le par Tourtaux

Les délégués CGT participant au 49ème congrès de l’union départementale sont pleinement solidaires de la lutte menée depuis des mois, sous des formes différentes, par les salariés de Fagor Brandt avec leurs organisations syndicales.


Aujourd’hui les salariés de Brandt se trouvent dans l’impasse. Entre le repreneur CEVITAL, le gouvernement, les pouvoirs publics, les élus politiques vendéens, qu’ils soient de gauche ou de droite, les salariés sont ballotés et désemparés, car ils sont dans l’incertitude la plus totale.


Toutes les solutions proposées visent au moindre mal, en rayant de la carte le site d’Aizenay, en préservant environ 150 emplois à la Roche sur Yon, et ce, pour deux ans. Il est clair que le sort des deux sites vendéens et des emplois est entre les mains des salariés et du rapport de force que l’on peut construire ensemble.


Les délégués CGT présents les 26, 27, et 28 mars 2014 au 49ème congrès de l’union départementale, appellent l’ensemble des forces du département, l’ensemble des syndicats CGT à s’inscrire et à participer le 4 avril prochain à 14 heures au rassemblement devant la préfecture à la Roche sur Yon, avec les salariés des Brandt. Nous sommes tous des Fagor Brandt.


Le 4 avril est l’occasion de porter la revendication de l’investissement industriel et de l’emploi de qualité. Les sites d’Aizenay et de la Roche sur Yon sont rentables. C’est le moment d’aller dire à tous ceux qui pensent pour nous, à tous ceux qui décident pour nous, qu’ils ne feront rien sans nous.

 

Oui, tous et toutes ensemble LE 4 AVRIL à 14H00, devant la préfecture de la Roche sur Yon, avec les Fagor Brandt,
TOUTES ET TOUS ENSEMBLE, salariés du privé et du public, salariés privés d’emploi, et retraités,
Pour le maintien des sites vendéens et de tous les emplois.
--- c’est possible ! --- c’est rentable !

 


Nous invitons chacun et chacune d’entre vous à vous organiser, et à rejoindre la CGT, syndiquez-vous à la CGT pour porter haut et fort vos revendications.


- emploi - salaire - conditions de travail -
- service public - protection sociale -

 

Toyota : Plus Toyota gave ses actionnaires, plus les salariés trinquent....

Publié par udcgtnord.over-blog.fr sur 3 Avril 2014, 15:35pm

Catégories : #Bréves

Toyota : Plus Toyota gavent ses actionnaires, plus les salariés trinquent....

Le groupe Toyota va racheter pour 360 milliards de yens d’actions Toyota pour donner du cash aux aux actionnaires… Soit l'équivalent de 8.000 € pour chaque salarié.

Pendant ce temps, nouvelle baisse pour les salariés de la prime d'intéressement de 300 €, les conditions de travail se dégradent avec des "pères fouettards" patrouillant dans les ateliers, distribuant remontrances, rappels à l'ordre, avertissements, sanctions, cadences passant de 68 secondes à 57 secondes,…

La réduction du coût du travail augmente les risques d'accidents de travail, de maladies professionnelles, etc.

http://www.udcgtnord.fr/

Carcassonne : impressionnante mobilisation à l'hôpital contre le déménagement

Le 03 avril à 15h30 | Mis à jour il y a 15 heures

  • Plusieurs centaines d'agents réunis en début d'après-midi dans le hall.

    Plusieurs centaines d'agents réunis en début d'après-midi dans le hall.(Photo par CLAUDE BOYER)
  • CGT et FO, opposés aux maquettes organisationnelles présentées par la direction.

    CGT et FO, opposés aux maquettes organisationnelles présentées par la direction.(Photo par CLAUDE BOYER)
  • Des griefs, à près d'un mois d'un déménagement qui doit débuter le 5 mai.

    Des griefs, à près d'un mois d'un déménagement qui doit débuter le 5 mai.(Photo par CLAUDE BOYER)
  • Plusieurs centaines d'agents réunis en début d'après-midi dans le hall.

    Plusieurs centaines d'agents réunis en début d'après-midi dans le hall.(Photo par CLAUDE BOYER)

Si les syndicats FO et CGT attendaient une confirmation de la grogne des agents du centre hospitalier sur les conditions de déménagement dans le nouvel établissement, ils en ont eu la preuve en ce début d'après-midi.

Les syndicats avaient convié les personnels à une heure d'information syndicale, pour informer les personnels de leur refus d'une transition dans les conditions évoquées par la direction lors des réunions de présentation des maquettes organisationnelles. Plusieurs centaines d'agents ont répondu à l'invitation, pour manifester une nette opposition et rejoindre les syndicats sur le sujet des effectifs prévus pour le futur site de Montredon.

La menace plane sur le déménagement

A un mois du déménagement, FO et CGT ont donc rappelé que "ce n'était pas au personnel de faire les frais du déficit budgétaire, ni de subir la pression de l'agence régionale de santé". Et renouvelé la demande de douze équivalents temps plein de plus que dans le projet pour les services de soin, signifiée mercredi lors d'une rencontre entre la direction et les syndicats (CGT, FO, CFDT, CFE-CGC) .

Le 7 avril, une nouvelle réunion est prévue avec la direction : "S'il s'agit de concertation, nous n'en voulons plus", a précisé Gilles Gadier, de FO.  "Si c'est de la négociation, on prend." Une précision apportée après avoir enttendu les centaines d'agents présents dire leur refus de déménager dans ces conditions.

http://www.lindependant.fr/2014/04/03/carcassonne-impressionnante-mobilisation-a-l-hopital-contre-le-demenagement,1867253.php

Publié le jeudi 3 avril 2014 à 11h18min par Rédaction en chef

 

La santé des salariés d’Airbus est-elle menacée ?
  En amont des négociations annuelles qui débuteront ce vendredi 4 avril, au sein du groupe Airbus, le syndicat CGT Airbus 31 a interrogé les salariés du groupe sur leurs conditions de travail, leurs salaires et les évolutions de carrière. Le point sur les résultats.
 

Philippe Fernin, vous êtes délégué syndical central adjoint de la CGT Airbus 31, pouvez-vous nous rappeler dans quel contexte vous avez été amenés à lancer votre enquête ?
Chaque année, en amont des négociations annuelles obligatoires, la CGT est le seul syndicat qui consulte les salariés d’Airbus pour connaître leurs revendications. Jusqu’à présent, nos questions portaient principalement sur les salaires, mais nous avons souhaité les élargir cette année aux conditions de travail et aux évolutions de carrière, une démarche à laquelle les salariés ont été manifestement sensibles puisque nous avons enregistré quatre fois plus de réponses que d’habitude.

Concernant le registre de l’évolution professionnelle, près d’un salarié interrogé sur deux se déclare insatisfait (à 48%). Comment analysez-vous ce retour ?
Plusieurs facteurs concourent à ce taux d’insatisfaction. Malgré tout ce qui peut être fait, 39% des répondants estiment par exemple que l’inégalité de traitement entre les hommes et les femmes persiste. Un pourcentage qui atteint 58% chez les femmes. La politique menée par le groupe en termes de promotions est également pointée du doigt, 59% des salariés estimant qu’elle ne se fait pas en toute équité, que le réseau, l’appartenance à un syndicat… pèsent davantage que les compétences.

Près d’un salarié sur trois se déclare également inquiet pour sa santé, est-ce que cela vous a surpris ?
Effectivement on ne s’attendait pas à une telle proportion, d’autant que le taux atteint 55% chez les ouvriers. L’utilisation du carbone (générateur de poussières) dans les nouveaux programmes tel que l’A350, peut être à l’origine de cette inquiétude, mais nous n’avons pas de certitudes. Nous espérons toutefois qu’au regard de ces résultats, une négociation spécifique à la santé au travail sera prochainement ouverte.

Reste le volet conditions de travail, or sur ce point, votre enquête témoigne d’une très large satisfaction, notamment en matière de reconnaissance ou d’intérêt pour le travail réalisé ?
C’est vrai, 90% des répondants se déclarent satisfaits de leur travail, 83% de leurs horaires, 74% se sentent estimées et respectés… Sur le plan de la rémunération, il est en revanche moins surprenant de voir que seuls 55% des répondants se déclarent satisfaits de leur salaire et de la politique salariale du groupe, car au regard des résultats exceptionnels et des dividendes versées, nombreux s’attendaient à une augmentation supérieure à celle qui a été attribuée. De plus, Airbus privilégie les augmentations individuelles alors que 91% des salariés plaident pour une augmentation pour tous.

Qu’espérez-vous des négociations qui débuteront ce vendredi 4 avril ?
Nous allons évidemment faire remonter les revendications des salariés et les résultats de l’enquête, et surtout faire des propositions très concrètes afin de faire évoluer positivement les choses, tant en matière d’évolution professionnelle que de santé, de prévention des risques psycho-sociaux et bien sûr de salaire. On verra…
Propos recueillis par Ingrid Lemelle

Sur la photo : Philippe Fernin, délégué syndical central adjoint de la CGT Airbus 31. DR.

CGT : "La maternité d'Orthez est viable"
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Publié le 04/04/2014 à 06h00 , modifié le 04/04/2014 à 08h51 par

Le syndicat CGT fait état de contacts encourageants avec un obstétricien et rappelle que près de 400 accouchements sont pratiqués par an

CGT : "La maternité d'Orthez est viable"L'Agence régionale de santé rendra ses conclusions en juin © Photo
archives N. L.

« Le premier objectif reste le recrutement d'un obstétricien, relève Guy Pisant. Il y a au moins une personne intéressée qui doit revenir en mai pendant 15 jours. » S'il reconnaît les « difficultés de recrutement », le syndicat croit encore dans cette possibilité. « Il y a un rapprochement avec l'hôpital de Pau pour élaborer d'autres scénarios. Il faut laisser les personnels travailler au lieu de mettre le feu aux poudres », ajoute Guy Pisant avec fermeté.

Une quarantaine de salariés

Un personnel de la maternité a rappelé que 40 % des patientes n'étaient pas issues du bassin orthézien, notamment en raison de la spécialisation de l'établissement orthézien dans les accouchements naturels. « C'est un des rares plateaux techniques où les sages-femmes libérales peuvent venir accoucher les femmes qu'elles suivent », ajoute cette membre du personnel.

Rappelons qu'une quarantaine de personnes travaillent à la maternité d'Orthez. Dans le scénario d'un centre de périnatalité où seuls les pré et post-accouchements seraient pris en charge à Orthez, Guy Pisant craint des « suppressions de poste ».

« L'hôpital de Pau pourra-t-il absorber 400 accouchements supplémentaires ? », s'interroge-t-il en conclusion.

Une pétition en ligne

Une pétition pour la défense de la maternité est en ligne depuis le 1er avril. Vendredi à 8h50, elle avait recueilli 1810 signatures.

http://www.sudouest.fr/2014/04/04/cgt-la-maternite-est-viable-1515296-4329.php

  
Deville et ses 120 emplois préservés

Deville et ses 120 emplois sont préservés à Charleville-Mézières. Le tribunal de Commerce de Sedan a confirmé la reprise de l'usine par le groupe Phoenix, spécialisée dans les poêles à bois. Placée en redressement judiciaire en 2013, la menace de fermeture planait sur l'entreprise, datant de 1846.

Les syndicats ont ainsi validé le volet social de l’offre déposée par Phoenix, qui préserve les 120 emplois existants. Il s’agissait de lever les obstacles administratifs et financiers qui risquaient de faire obstacle à une reprise de l’entreprise.

L’offre de reprise de Deville par Phoenix apparaît également porteuse d’avenir, la société sera recapitalisée et 1,4 millions d’euros seront investis dans la modernisation de l’usine.

http://www.lechatnoir51.fr/article-deville-et-ses-120-emplois-preserves-123211012.html

Loire

Jeudi 3 avril 2014 à 13h47

Social - La CGT retraités revendique et évolue

600 personnes dont 500 délégués de toute la France étaient à Saint-Etienne (D.R.)

  • 600 personnes dont 500 délégués de toute la France étaient à Saint-Etienne (D.R.) Grande illustration actu

« Première organisation syndiquée des retraités », l’Union confédérale des retraités CGT tenait son congrès national à Saint-Etienne du 24 au 28 mars.

Ils sont 2 000 dans la Loire sur 112 000 adhérents en France. Ici comme ailleurs, la tendance est à la fonte des effectifs : plus d’une centaine d’adhérents perdus sur ces dernières années.
Forcément, puisqu’« ils étaient mineurs ou de la métallurgie… La relève, ce sont les communaux, les professionnels de la santé. Mais souvent le mal être au travail est tel qu’à 60 ans, on veut couper », constate Viviane Levrat, secrétaire  de l’Union Loire. A l’échelle hexagonale, seulement trois syndiqués CGT actifs sur 10 le restent, une fois retraités, précise lui François Thiery-Cherrier, secrétaire général de l’UCR, il convient donc de convaincre, comme ceux qui n’ont jamais été syndiqués, que le syndicalisme à une raison d’être à la retraite. Un des axes de travail du 10e Congrès de l’UCR tenu au Centre des congrès de Saint-Etienne en présence du secrétaire général Thierry Lepaon, successeur de Bernard Thibault. Une CGT retraités qui souligne aussi sa volonté politique de parité : « la commission exécutive compte 25 hommes et 25 femmes. Sur 500 délégués, 38 % de femmes, se réjouit F. Thiery-Cherrier, cela rend nos discussions plus riches. »
Plutôt bienvenu à l’heure où les retraités français se paupérisent selon la CGT : « à dose homéopathique, ils ont perdu 25 % de leur pensions, comme les Grecs. Il faut stopper la machine ! » Le syndicat annonce donc un rassemblement national à Paris le 3 juin. Avec l’ambition d’attirer 20 000 personnes et d’autres syndicats (« la division n’est pas une fatalité »). La CGT suivra la mode marketing d’autres mouvements revendicatifs en faisant porter des foulards rouges : « sur le champ de Mars, ça aura de la gueule ! », lance F. Thiery-Cherrier pour qui les revendications légitimes sont légion : gel des barèmes, fiscalité malgré trois enfants et plus, taxe à 0
,3 % sur la perte d’autonomie « qui sert à autre chose », non revalorisation des complémentaires etc. Quant à la loi de financement de l’autonomie, « elle doit se faire dans le cadre de la Sécurité sociale. » Pas question de ponctionner les héritages ou de relever certaines fiscalités : « les banques deviendraient maîtres du patrimoine transmis. Et les retraités n’ont pas cotisé toute leur vie pour le refaire ensuite ! »

Xavier Alix

http://lessor.fr/2014/04/03/social-la-cgt-retraites-revendique-evolue/


Rodez. La CGT a rencontré l'agence régionale de santé

Publié le 04/04/2014 à 03:49

Une délégation de la CGT santé et action sociale de l'Aveyron a été reçu à l'agence régionale de santé en début de semaine, afin d'évoquer le dossier de la clinique Saint-Louis de Rodez. «Nous avons demandé ce rendez-vous pour en savoir plus sur le calendrier et sur les dossiers «pour appel à projet», pour les lits SSR cardiologie pneumologie et poli pathologie. Quatre dossiers ont été déposés avant le 31 mars 2014, un par une personne du secteur privé, deux par des établissements publics et un par un établissement de santé privé d'intérêt collectif (ESPIC). Une commission spécialisée de l'organisation des soins est prévue le 15 mai prochain, elle prendra position par rapport à ces projets et permettra une nouvelle autorisation de fonctionnement de la structure», explique Pascal Mazet, le secrétaire USD CGT santé et action sociale de l'Aveyron. Il ajoute, «Pour nous le choix doit être fait sur plusieurs critères déterminants comme la sécurité des patients, la prise en compte des besoins de la population ruthénoise, la reprise des salariés et la rapidité de la faisabilité du projet».

Jeudi 03 avril 2014 15:13

Bayeux : L'antenne de la caisse d'assurance retraite va fermer

 

photo la députée isabelle attard (avec le gilet vert) était présente lors du mouvement de protestation. © ouest-france

La députée Isabelle Attard (avec le gilet vert) était présente lors du mouvement de protestation.© Ouest-France

Installée dans des locaux provisoires, la Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail fermera en juin. La CGT a organisé un mouvement de protestation ce jeudi.

Installée depuis un an dans des locaux provisoires, route de Caen, à Bayeux, l'antenne locale de la Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail (Carsat) devait déménager après la mise en œuvre de travaux dans un bâtiment plus adapté à l'accueil du public, rue Saint-Patrice. Ce ne sera pas le cas. Elle fermera ses portes en juin.

Disparition d'un service de proximité

Mardi matin, la CGT a organisé un mouvement de protestation devant les locaux provisoires. « L'ensemble des assurés qui ont des questions à poser, à mettre en forme leur dossier de retraite ou de pension de réversions devront se rendre sur les sites de Caen ou de Saint-Lô », regrette Christian Letellier, administrateur CGT à la Carsat de Normandie qui, plus globalement, dénonce la disparition d'un service de proximité.

Mesures économiques

La cause de cette fermeture est bien évidemment liée à des mesures de restrictions économiques. Les travaux, s'ils avaient été réalisés, auraient nécessité une enveloppe de 180 000 €. « Je confirme que nous allons fermer cette agence retraite fin juin, déclare Sébastien Martine, sous-directeur à la Carsat Normandie. La raison, elle est financière, dans le cadre du plan général d'économie voulu par le gouvernement. Un certain nombre d'efforts nous sont demandés au niveau de nos dépenses de fonctionnement. »

Benoît Lascoux   Ouest-France  

http://www.caen.maville.com/actu/actudet_-bayeux-l-antenne-de-la-caisse-d-assurance-retraite-va-fermer_fil-2525338_actu.Htm

 

D'AUTRES CHOIX SONT POSSIBLES POUR NOTRE INDUSTRIE PAPETIERE !

jeudi 3 avril 2014

Communiqué de l’UD CGT des Vosges

L’Union Départementale CGT des Vosges est interpellée par la communication du patronat de la COFAPEL ce 1er avril dans la presse départementale. Par l’intermédiaire de son vice-président, Jean Marc Louvet, qui plus est Président du Groupe UPM en France, la COFAPEL fait la démonstration de l’avenir qu’elle réserve, entre autre, aux entreprises du premier département papetier français.

En effet, le patronat nous donne une vision économique basée sur les seuls choix des actionnaires des groupes papetiers répondant aux exigences d’une rentabilité maximum. Aujourd’hui, cette vision économique est dictée en partie, par la stratégie des papetiers scandinaves qui ont décidé de se partager le marché et de se recentrer sur les différentes productions.

Ainsi la fermeture de la papeterie de Docelles est une conséquence de ces choix décidés par UPM.

La CGT affirme que le Groupe UPM a menti aux salariés, à leurs organisations syndicales, aux populations, aux pouvoirs publics en affirmant être vendeur du site industriel de Docelles, tant depuis plus d’un an UPM a créé les conditions pour empêcher toute reprise.

Pour la CGT, cette situation est intolérable, notamment pour Docelles, qui est un site industriel rentable avec des salariés qualifiés et un carnet client important.

Avis de mauvais temps pour la papeterie Archives Il apparait, aux vues des déclarations du patronat de la filière, que l’Etat et les pouvoirs publics doivent tout mettre en œuvre, pour que d’autres sites papetiers Vosgiens ne connaissent pas le même sort prochainement.

La CGT réaffirme que cela passe par des choix politiques gouvernementaux. Nos élus doivent prendre leurs responsabilités par la loi, en prenant rapidement toutes les mesures pour maintenir nos entreprises et permettre, comme nous le souhaitions à Docelles, aux salariés de faire vivre le site.

L’avenir de notre industrie et son maintien dans nos territoires passent par d’autres choix de société remettant les salariés et non la finance au centre des préoccupations.

Pour L’UD CGT

Denis SCHNABEL

Secrétaire Général

http://www.filpac-cgt.fr/spip.php?article6939

Publié dans Lutte des classes

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